*JF. Jeanne d'Arc.

Plus l'esprit Carrie au bal du diable que Jeanne au bûcher.

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En bonne compagnie d'un Aludo

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et Starlux

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Bien vu le coup de l'Aludo, même si c'est en fait un boutefeu de bombarde 

Magnifique

 Bravo pour ce passage en revue de Jehanne(s).
A l'époque j'ai ignoré le sujet, maintenant, je regarde tout !

Pas bien ...(à l'époque!)

... d'avoir loupé La Sainte Jeanne ou de ne pas regarder tous les sujets !



plus sérieusement...
cette pièce est d'une grandeur indéfinissable.
l'autre JF/JSF, avec le cheval est au même niveau et celle avec le mouton lorsqu'elle est assise est encore plus magistrale. Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais pas en tête. (peut-être parce qu'elle n'est pas représentée en plastique [?] ).
je ne trouve pas les mots qui exprime ce que je ressens lorsque je vois ces pièces.

si je devais représenter la France avec quelques figurines, ou avec un thème, c'est bien celles-ci que je prendrai : Jeanne d'Arc-JF/JSF ex aequo avec les poilus et je ne sais pas trop quelle marque...

(j'ai toujours un peu d'argent de côté au cas où elles passeraient sur ebay à des prix indécents -cela fait deux fois que je les loupe !)

-

  en tant qu'Orléanais je ne peux qu'approuver.

"sus à l' angloiiiis !!"

Yeees

Pour moi c'est une belle figurine, au sens où on a une statue miniature, mais ce n'est pas un jouet ou un "petit soldat". D'ailleurs on connait l'origine, une statue de 1893 destinée à la place publique, à Chinon. Les Anglois foulés aux sabots par le destrier de Jeanne d'Arc ont été quand même remplacés par ... on ne sait pas trop quoi, peut-être des bouts de palissade ennemie franchis par la cavalière. 
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Dan34 a écrit:

une statue de 1893 destinée à la place publique, à Chinon. Les Anglois foulés aux sabots par le destrier de Jeanne d'Ar (...)

---  ...quelle merveille, cette statue...

Quelques compléments glanés sur le net qui expliquent un peu l'inspiration du sculpteur (et les problèmes de transport de ce très imposant monument :

La statue équestre de Jeanne d’Arc, œuvre du sculpteur Jules Roulleau, a été inaugurée le 13 août 1893 par l'amiral Henri Rieunier (1833-1918), alors ministre de la Marine. Ce groupe équestre de bronze, haut de sept mètres et pesant 7 tonnes, fondu par les frères Thiebaut en région parisienne, avait été exposé à Paris pour les fêtes du 14 juillet 1893. Malgré toutes les tentatives il avait été impossible de l’expédier par le rail, et de forts percherons, attachés à une solide voiture, en avaient assuré le transport jusqu'à son emplacement actuel, l'actuelle place Jeanne d'Arc. La Pucelle est représentée en selle, tenant de la main droite son épée et de la gauche brandissant son étendard. Son cheval passe sur les corps de deux soldats anglais allongés à terre. L'inspiration du sculpteur pourrait venir d'un tableau antérieur peint par Raymond Balze, dont la composition est très proche, faisant lui-même référence à la "prophétie de Merlin" citée par Christine de Pisan (1364/1430) : « Une vierge viendra dont le cheval foulera le dos des archers ».


Le tableau, de peu antérieur, qui a pu inspirer le sculpteur :


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Etonnant qu'un tableau datant de 1893 puisse représenter sainte Jeanne d'Arc alors qu'elle n'a été canonisée qu'en 1920.

--- Avant d'être canonisée ("sainte"), Jehanne fut "Bienheureuse" et est représentée dès 1854 (par le peintre Ingres) avec une auréole.

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Elle est béatifiée en 1909.
Mais un tableau peut toujours être retouché ultérieurement.

carnute a écrit:

Elle est béatifiée en 1909.
Mais un tableau peut toujours être retouché ultérieurement.

Là ce n'est pas le cas. Ingres a juste anticipé sur la décision de l'Eglise. 

"Plusieurs membres de l’atelier d’Ingres (dont Paul-Raymond Balze, 1818-1909, lui même auteur, en 1877, d’une Jeanne d’Arc à Patay) ont en effet collaboré à cette commande, et aidé à mettre en place le décor et les figures secondaires : un moine franciscain, un page et Ingres lui-même qui, à l’extrême gauche et le visage tourné vers la scène centrale, apparaît habillé en écuyer de la Pucelle. C’est d’ailleurs sur l’initiative du peintre que celle-ci porte une auréole et est ainsi assimilée à une sainte, quinze ans avant les premières démarches lancées en cour de Rome par mgr Félix Dupanloup, évêque d’Orléans de 1869 à 1878, en faveur de l’ouverture d’un procès en canonisation."


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